AMOUREUSE DE MON PATRON ET AU COURANT DES INFIDÉLITÉS DE SON ÉPOUSE…


Bonjour chers lecteurs. Partager mon histoire pourra peut-être aider de nombreuses personnes. Je me suis retrouvée dans une situation très compromettante et délicate car j’étais tombée amoureuse de mon patron dont la femme était très infidèle.

Je suis une jeune assistante de Direction dans une structure de la place. Recrutée tout récemment, j’ai rencontré le Directeur le jour même de mon entretien d’embauche. J’ai été tout de suite frappée par cet homme, jeune, la trentaine. De lui émanait une assurance que jamais je n’avais vu. Je restai captivée par tout, son physique de rêve, homme grand et soigné et ses belles manières.

Il était souriant, pas le patron strict agaçant dont on pouvait craindre les sauts d’humeur. Lui, il était doux et drôle envers tout le monde. Dès mes premiers jours dans la boite, j’appris son surnom, papa noël selon ses employés qui l’affectionnaient particulièrement.

J’avais la charge de son secrétariat et je m’étais jurée de bien faire mon travail pour attirer son attention, pas sur moi mais sur la qualité de mes prestations. Dès ma première semaine, toutes les nuits je pensais et rêvais de lui. J’avais hâte de le retrouver les lendemains, ouvrant mon bureau pour lancer son habituel « bonjour » sonnant et raisonnant si gracieusement et agréablement à mes oreilles. Cet homme était mon idéal, il était parfait mais il était également mon patron et cet état des choses me mettait très mal à l’aise car l’une des bases morales de mon boulot était de ne pas avoir de relations personnelles au travail.

Je vivais un véritable calvaire. La raison principale, les fréquentations féminines de mon patron. Il y en avait énormément. Mon patron, ce bel homme était un véritable don juan, un homme à femmes, dragué et harcelé constamment par toute catégorie de femmes. Des mariées aux célibataires, rondes, claires, noires, grandes et fines, toutes passaient et repassaient dans son bureau à longueur de journée. Certaines venaient même s’y croiser et n’eut été mon regard sévère, elles auraient pu en venir aux mains tellement la rivalité était forte.

Celle qui souffrait le plus, c’était moi. Je me comparais à ces déesses et je me disais que jamais je n’aurais pu attirer son attention car même si j’étais jolie, ce n’était pas de mes tailleurs à couleurs et coupes sobres qu’émanerait mon charme.

Les jours de fête, j’étais toujours de très mauvaise humeur car mon patron recevait surtout les 14 Févriers des tonnes de cadeaux pourtant Renaud était marié jusqu’au cou. Je ne comprenais pas du tout cet attachement qu’avaient ces femmes pour lui. Il semblait aimer et respecter son épouse mais certains soirs, lorsque je restais tard au travail, je les entendais, ses maîtresses et lui en pleins ébats sexuels dans ce même bureau.

La première fois, la fille en question fut une de ces tops modèles du pays, connue pour ses longues jambes et ses apparitions publiques relayées sans cesse sur les médias. Elle se faisait financer par Renaud car à chaque fois qu’elle se pointait, son chéquier en souffrait. Celle-là n’hésitait pas à lui donner en retour du plaisir là sur place. Mon patron est un type si sérieux vu de l’extérieur. Je fus donc choquée par leurss cris et gémissements dans ce même bureau qui le matin nous avait servi de salle de réunion. Je ramassai enragée mes clics et mes clacs et rentrai en rogne à la maison. Je le détestai profondément pour ce laisser-aller sans même imaginer qu’il en serait ainsi chaque semaine.

Certaines de ces femmes étaient des fidèles maîtresses. Elles avaient leurs jours auxquels je finis par m’habituer. Mon patron me demandait de n’autoriser aucune visite lorsque certaines, montées en estime arrivaient. D’autres, moins aimées évacuaient les lieux assez tôt.

Trois mois après, je finis par totalement m’habituer aux frasques de mon cher patron. J’étais vraiment la secrétaire muette et discrète. Appelée à sourire même quand elle n’en avait pas envie car l’une des exigences de notre corps de métier est de toujours sourire. Pourtant j’avais la rage.

Tous les jours, je filais au bureau sur ma petite moto, impatiente de voir arriver mon beau patron, recouvert de son eau de toilette auquel j’étais à présent totalement habituée. Il était toujours bien mis. J’enviais son épouse qui avait la chance de dormir à ses côtés toutes les nuits mais lorsque commençait la ronde des maîtresses, je la plaignais.

Son épouse, Madame Renaud était une femme guindée et très désagréable. Fille de riche, elle ne tardait pas à faire comprendre à tous qui elle était. Elle serait bien déçue si elle avait une idée de tout ce que je voyais passer.

Lorsque cette femme arrivait, elle vous regardait de haut, vous parlait comme à ses animaux et adorait donner des ordres à son époux. Je sentais l’agacement de ce dernier à chaque fois que je l’annonçais. Elle avait tendance à débarquer à l’improviste malgré les interdictions formelles de son mari dans ce sens. Elle en était plus qu’heureuse. Je m’étais à plusieurs reprises retrouvée confrontée à la gestion des personnes lorsqu’une des maîtresses du mari était là ou venait pendant que Madame débarquait. La seule chance de l’époux, Ahmed, le gardien qui s’empressait de m’appeler pour signaler l’arrivée du « vautour » comme on l’avait surnommé.

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Je profitais des quelques minutes d’ascenseur pour en avertir l’époux qui faisait passer ses copines en salle d’attente. Je gardais mon sang froid et jubilais intérieurement. De multiples fois, j’ai dû sauver la situation in extremis pour éviter la guerre mondiale car madame n’était pas du genre à se laisser faire. Mon patron m’en avait récompensé avec un large sourire et un clin d’œil de reconnaissance.

C’est de là qu’est partie la complicité qui me coûta chère.

Je connaissais par cœur chacune des maîtresses de mon patron. Toutes voulaient être dans mes bonnes grâces. C’est ainsi que j’étais amenée à recevoir de nombreux cadeaux. Habits, chaussures, montres, parfums et même des enveloppes…

Renaud s’amusait de voir à quel point ces femmes se donnaient de la peine. Il disait :

  • C’est toi la meilleure femme au monde.

Il semblait si sincère car je faisais preuve de beaucoup de patience et de discrétion à la différence de son ancienne assistante dont il avait dû se séparer.

 

Ce qu’il était loin d’imaginer c’est que j’en souffrais énormément. C’était une rude tâche de rester souriante devant son épouse exécrable, ses maîtresses débordantes, ses grosses infidélités et ses parties de jambes en l’air à même le bureau ou dans des hôtels de luxe, dont les réservations étaient encore ma corvée… La douleur était énorme et il m’arrivait de penser à démissionner mais ce salaire était mon seul revenu. Mais je fouillais les sites de job pour me trouver un nouveau travail et partir bien loin de tout ceci mais ne trouvais rien.

Je n’étais pas de celles qui pensaient qu’une assistante de Direction devrait sortir ou coucher avec son patron, quel que soit les affinités. Ce que je ressentais n’engageait que moi et il était juste hors de question de le laisser paraître. Seulement, j’étais très amoureuse de la mauvaise personne et j’essayais de ne pas me mêler de sa vie privée. J’étais assistante et rien d’autre.

Un midi, je fus invitée par une copine qui était de passage au pays pour manger. Nous étions attablées lorsque je fus attirée par le rire d’une dame assise un peu en retrait. Je pouvais jurer avoir entendu la voix de l’épouse de mon patron, je tournai la tête et la reconnu effectivement. Je crus alors qu’elle était là avec son époux et me lever en toute sagesse pour aller les saluer.

Lorsqu’elle me vit arriver, l’expression de son visage changea. Elle qui riait à gorge déployée renfrogna la mine de suite et retira subitement sa main de celle de l’homme.

  • Bonjour Madame, comment allez-vous ?
  • Bonjour bien et vous ?

Le monsieur se retourna et je compris de suite ce qui se passait, cet homme n’était pas Renaud. Je sentis une grosse gêne sur le visage de ce dernier et de sa compagne, je m’excusai et reparti à ma place. La fin du déjeuner fut difficile car je savais que ce que je venais de voir ne devait pas être interprété du tout. L’épouse de mon patron sorti du restaurant quelques minutes après et s’engouffra dans sa voiture…

Deux jours après, alors que j’avais complètement tout oublié, cette femme débarqua au bureau en l’absence de son époux.

  • Bonjour Madame. Votre époux n’est malheureusement pas là.
  • Ce n’est pas mon époux que je suis venue voir. C’est plutôt à vous que je veux parler.
  • Moi ? À quel sujet Madame ?

Elle n’avait pas du tout l’air amical et refusa le siège que je lui proposai. Sans attendre, elle enchaîna :

  • Avant-hier vous m’avez croisé au restaurant. Cela fait combien de temps que vous travaillez ici ? À peu près huit mois je pense ? Vous aimez votre travail je suppose… Très bien. Alors sachez que vous n’avez rien vu avant-hier. Si jamais mon mari est informé que j’étais à un déjeuner avec un autre homme, vous perdrez votre travail je peux vous le jurer.
  • Mais madame…
  • Est-ce que c’est clair, petite ?
  • Oui madame, c’est plus que clair.

Bien sûr que j’étais déboussolée par la présence et les mises en garde de la femme de mon patron. Cette femme avait très mauvaise presse et j’avais intérêt à ne pas m’en faire une ennemie de peur de perdre mon travail mais jusque-là, je ne comprenais pas pourquoi une personne qui n’aurait rien à se reprocher puisse réagir ainsi.  De quoi avait-elle eu peur ? À part le geste de main qui m’avait un tout petit peu interpellée, je n’avais vu aucun mal au fait que la femme de mon patron déjeune avec une connaissance alors je fus vraiment choquée par ses menaces mais gardai le silence.

Je finis par me rendre à l’évidence que la femme de mon patron avait elle aussi des choses à cacher à son mari. Mais vraisemblablement, cela n’était pas mes oignons du tout mais je n’arrivais juste pas à y croire. Comment un couple paraissant aussi épanoui et bien ensemble pouvait se faire tant d’infidélités ?

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Je continuais mon travail comme si de rien n’était, mon patron dans l’entière ignorance de l’acte de sa femme et elle de ses innombrables infidélités. C’était de bonne guerre avais-je dit, ils se méritaient tous deux après tout. Homme infidèle, femme infidèle, couple d’infidèle, couple parfait quoi… (Rire…).

Sauf que malgré tout cela, je voyais toujours mon patron comme l’homme idéal. Je ne me comprenais pas car plusieurs choses auraient pu me faire le détester, j’aurais pu ressentir du dégoût pour cet homme mais non, Renaud était vraiment l’idéal, beau, gentil souriant et attentionné surtout lorsqu’il faisait une grosse bêtise avec l’une de ses fréquentations.

Il revenait toujours vers moi et se confiait petit-à-petit comme un enfant. Je pouvais lire en lui une grosse faiblesse, un manque, celui d’une véritable affection féminine. Renaud manquait d’amour. Mes collègues m’avaient brièvement parlé de son enfance, orphelin trop tôt, il n’a connu de sa mère qu’une photo qui à peine lui faisait honneur. Ayant grandi sans figure maternelle proche, élevé par une belle-mère pas trop gentille et un père politicien absent, je comprenais à présent d’où lui venait ce vide à combler à tout prix.

Le silence était ma plus forte et belle arme car je devais garder mon poste et ce à ce prix. Je venais ainsi de boucler une année entière dans cette entreprise. Mon patron avait voyagé la semaine d’avant pour la Belgique alors je décidai de sortir avec quelques amis en boite de nuit.  Grande fut ma surprise de tomber une fois encore nez-à-nez avec la femme de mon patron.

Cette fois-ci, vêtue comme une jeune fille de notre âge, malgré ses trois maternités. Elle ne m’avait pas reconnu à cause de l’obscurité et je n’osai plus me rapprocher d’elle pour les civilités. Je passai la soirée à l’observer de loin, se faisant tripoter et embrasser par le même homme que la dernière fois. Je compris de suite qu’il s’agissait de son amant. À présent j’avais des preuves palpables. Cette femme trompait purement et simplement son mari.

Je m’empressai de sortir du club pour éviter d’être reconnue et rentrai chez moi. Au retour de son époux, quelques jours après, je sentis quelque chose de totalement différent chez lui. Ses maîtresses n’étaient plus reçues au bureau, il ne voulait voir personne et passait ses journées derrière son ordinateur ou le nez plongé dans les dossiers. Il avait l’air déprimé et agacé par tout. Son humeur, exécrable, il répondait avec hargne et colère et renvoyait même certains collaborateurs de son bureau. Tous, nous disions qu’il était en feu tellement son humeur était mauvaise.

Le voir ainsi me fendait le cœur. Je cherchais des voies et moyens pour pouvoir lui parler mais je ne pouvais oser car il était dans cette grotte. Un soir à la fermeture, il était toujours là dans son bureau mais cette fois-ci debout face à la baie vitrée, regardant le paysage neutre. Je pris mon courage à deux mains et m’approchai de lui.

  • Monsieur, vous ne rentrez pas ?

Il se retourna et me fit non de la tête

  • Qu’est-ce que tu fais là, demoiselle ? Tu devrais être déjà chez toi ou avec ton homme. Il est tard.
  • Je m’apprêtais à y aller en effet mais je voulais finir certains dossiers avant… Vous allez bien ?
  • Pourquoi cette question ?
  • Excusez-moi mais vous n’êtes plus le même depuis votre retour. Tout le personnel en parle mais personne n’ose aborder le sujet avec vous.
  • Et toi tu es leur porte-parole ou leur envoyée ? Coupa-t-il nerveux et désagréable.
  • Vous avez raison, lui répondis-je heurtée avant de tourner les talons…

J’étais vraiment blessée mais j’avais mérité ce traitement car il ne m’avait rien demandé.

  • Reviens s’il te plait. Désolée Chimène. Je ne voulais pas te parler ainsi. Excuses-moi. Je ne sais pas ce que je fais. Je fous la merde depuis un moment, je n’ai pas le moral du tout et je ne sais à qui en parler car je pense que ma femme couche avec son gynécologue.

La révélation fut si directe que je pris siège et il fit de même.

  • Vous soupçonnez votre épouse de vous tromper ?

Il me regarda intensément puis détourna le visage.

  • Tu me trouves drôle n’est-ce pas ? Grand infidèle cocufié. C’est de bonne guerre. Je le vois à l’expression de ton visage. Tu dois te réjouir de l’apprendre parce que celle qui est constamment trompée c’est elle…
  • Pourquoi dites-vous cela ? Loin de moi cette intention. Je n’ai pas à me mêler de votre vie privée. Vous en faites ce que vous désirez, qui suis-je moi pour vous juger ?
  • Vous les femmes lorsqu’on fait de vous des épouses et mères, vous n’en avez jamais assez. Vous passez le temps à nous rabattre les oreilles avec vos plaintes et vous finissez par nous chasser loin de vous.
  • C’est cela la conception du mariage pour vous ? Vous la soupçonnez de vous tromper mais vous êtes-vous juste demandé pourquoi cela vous arrive ?
  • Et voilà mon assistante qui s’érige en défense de la gente féminine.
  • Non pas du tout, je ne suis pas une féministe mais je pense que c’est toujours mieux de sauver ce qui peut être sauvé si l’amour existe toujours. Vous aimez votre femme j’en suis certaine. Et elle également j’en suis sure. Enfin j’ose croire que si. Pour ce que j’ai pu remarquer et de la manière dont elle s’est attelée à m’imposer le silence… Euh…
  • Quel silence ?
  • Non rien du tout Monsieur.
  • De quoi tu parles là ?
  • Ne faites pas attention, je vous laisse rentrer je dois y aller aussi.
  • Reste à ta place ! Chimène, de quoi tu me parles là ?
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Je compris que je venais de faire la bourde de ma vie. Je n’avais aucunement l’intention de dévoiler cette partie de l’histoire mais dans une réflexion poussée, j’ai par mégarde parlé trop vite. Je voulais juste disparaître.

  • Tu étais donc toi au courant des infidélités de ma femme ? (Je ne répondis pas et baissai les yeux). Bon sang mais … Tu étais toi mon assistante au courant que ma femme me trompait et tu ne m’en as pas parlé ?
  • Non je ne suis au courant d’absolument rien Monsieur.
  • Et en plus elle se permet de me raconter des mensonges… Donc tous étiez au courant que je suis cocu par ici… La meilleure.

Il ramassa sa veste et les clés de son véhicule et sortit en colère… Je fus couverte de honte et de regret. Terriblement mal à l’aise, comment aurais-je pu réparer ma bêtise ? Je fini par rentrer chez moi et dormi difficilement.

Le lendemain, Renaud était assis derrière son grand bureau impatient de me voir venir. Dès qu’il me vit passer devant la porte laissée entrouverte, il m’interpella.

  • Bonjour Monsieur, j’espère que vous allez bien.
  • Assieds-toi.

Devant moi se trouvait une enveloppe.

  • Je ne vais pas passer par 4 chemins Miss, soit tu me racontes tout ce que tu sais sur cette histoire, soit tu quittes mon entreprise. Dans cette enveloppe se trouve ta lettre de licenciement et ton solde. Je trouve inadmissible de garder dans mon entreprise une taupe…

Mes yeux se remplirent de larmes. Une taupe, j’étais tout sauf une taupe. Je n’avais rien vu, rien entendu et ne dirai jamais rien et surtout pas sous une quelconque menace.

  • Je ne sais même pas de quoi vous parlez. Votre femme vous aime ça saute aux yeux. Vous voulez me virer ? Allez-y mais sachez que le seul méchant ici c’est vous. Vous trompez votre épouse avec quoi 5, 7 autres femmes ? Vous n’avez jamais pensé à ce qu’elle aurait pu ressentir elle ? Vous les hommes vous êtes des égoïstes, vous vous plaignez qu’elle puisse trouver du réconfort dans les bras d’un autre mais vous alors que faites-vous ? Vous voulez me virer ? Soit, (me saisissant de l’enveloppe), je m’en vais, mais je vous laisse à votre conscience.

Je me levai et sorti du bureau devant son air surpris. Je ramassai mes effets et sorti de l’entreprise les larmes plein les yeux. En réalité j’avais du mal à croire ce qui venait même de m’arriver. Virée pour n’avoir pas révélé l’infidélité de la femme du patron…

 

Malgré mes sentiments j’étais juste incapable d’être de mauvaise foi. Cette femme malgré ses manières désagréables restait une femme, une mère et une épouse trompée par son homme. J’aurais pu tout avouer à mon patron mais j’étais aussi une femme comme elle et en voyant toutes ses infidélités, j’avais fini par être révoltée et dégoûtée. Partagée entre elle et son homme et bon à présent sans emploi… Je rentrai chez ma mère à qui je racontai tout en larmes.

  • Ton patron est un fou inconscient. Te virer pour ça alors que lui-même était en faute ? Il n’est même pas capable de faire la part des choses… En quoi sa vie privée te concerne toi son assistante.
  • Son égo maman, son égo a dû en prendre un coup. Je suis bien au centre de ce couple et crois moi je suis bien loin d’eux. J’en avais marre de devoir tenir sous silence certaines choses qui me dérangeaient. Son épouse qui me menaçait d’un côté et lui qui me vire de l’autre… J’ai dû les surestimer tous deux. J’espère juste qu’ils sauront s’en sortir.

Les jours, semaines et moi d’après furent rudes. Se retrouver au chômage ainsi, c’était idiot mais j’y étais. Certains collègues surpris par mon départ brusque cherchèrent à en connaitre la cause mais je ne dis absolument rien. J’avais le devoir de garder ce secret jusque dans ma tombe. Par contre ils m’avaient appris qu’entre le couple les choses allaient de mal en pis et que Madame était même venue surprendre son homme et une de ses maîtresses au bureau.

  • C’est Julie la secrétaire à l’accueil qui devait assurer ton intérim le temps de trouver une nouvelle mais elle n’avait pas ton tact du coup tout est parti dans tous les sens et le Boss a passé un sale quart d’heure. Sa femme a fait un vrai tapage ce jour-là, il a dû te regretter c’est sur…

Je restai perplexe…

Suite et fin bientôt…


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15 Commentaires

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  1. C’est quelle pyramide ça ? L’assistante entre le patron et sa femme ??? Assistante amoureuse qui n’a mm pas eu la chance de se voir aimé ne serait-ce qu’un peu !? Shade !

  2. Waooh ce secret faut il la peine au point de perdre ton boulot? La suite de l’histoire me fera comprendre la zone d’ombre mais chapeau à toi tata océane

  3. Hum c’est vraiment triste cette histoire.
    A force de bien faire on n’est toujours les perdants.
    Mais miss, Dieu est au contrôle garde la foi.
    La suite stpp

  4. Croustillant, le trompeur trompé. C’est le comble. Ah ouais ça fait mal. Bienvenue dans la réalité.
    La suite please