Instant érotique : Ma petite amie (interdit aux -18 ans)


petite amie

J’aurai dû écouter mon intuition et rester chez moi, me voilà dans de beaux draps maintenant. Je me demande comment vais-je faire pour sortir de cette maison sans être vu…

J’avais beau inviter Rouyatou, rien a faire, elle ne pouvait pas sortir de chez elle. Depuis le lancement de l’état d’urgence sanitaire et la mise en place du couvre-feu par le gouvernement, elle ne sortait plus, pas parce-qu’elle ne le voulait pas mais parce-qu’elle ne le pouvait pas. Aladji avait interdit à sa fille de passer le portail de leur maison sous peine de se voir sanctionnée, le gardien devait y veiller, sauf que là le gardien c’était un ami à moi. Ahh ! Dieu fait tellement bien les choses. Rouyatou m’avait informé que son père cherchait un vigile qui serait temporaire le temps de la levée du couvre-feu et de l’état d’urgence. Aladji, ignorant la relation qui existe entre sa fille et moi, a donc voulu m’engager comme vigile à temps partiel à cause de mon physique d’athlète. C’était l’occasion pour moi de garder un œil sur Rouyatou, ma petite amie. Mais j’avais refusé l’offre et je lui avais recommandé un ami bodybuildeur. Je pouvais passer toute la journée à discuter et à rire avec Rouyatou, puisque mon ami le nouveau vigile me laissais entrer dans la maison et ressortir en douce. Tout allait bien jusqu’à ce fameux jour où il a demandé une permission pour une absence. Aladji le lui avait accordé sans hésitation, mais avant de partir il me fit entrer une nouvelle fois en douce dans la soirée. Rouyatou et moi avions décidé de passer du temps ensemble.

Le vigile parti plus tôt que prévu ce jour là, j’étais allé faire quelque courses pour acheter de quoi grignoter avant de venir m’introduire comme un voleur dans la maison. Je revins au domicile d’Aladji et je passe par la cour arrière. Rouyatou m’attendait à l’entrée de la fenêtre à l’étage. De mon côté j’essayais tant bien que mal d’y accéder en escaladant le mur sans faire de bruit. J’étais à quelques centimètres de la fenêtre quand j’entendis un klaxon, c’était Aladji. Je me hâte puis je pénètre dans la chambre en trébuchant dans un bruit qui fut couvert par un autre klaxon d’Aladji. Rouyatou se présente à mon encontre puis m’aide à me relever.

Rouyatou : Tellement tu m’as manqué, tu t’es pas fait mal j’espère (en prenant ma tête dans ses mains)

Moi : Non, je n’ai pas mal. On se voit régulièrement ma chérie (en souriant du coin des lèvres, j’étais craquant quand je faisais ce sourire donc j’en ai fait une arme)

Rouyatou : Mais sans passer toute une nuit ensemble. Ton corps à manqué au mien

Moi : Je suis là maintenant, rien qu’à toi.

Elle prit mes lèvres entre les siennes et on roulait des pelles à ne pas en finir, aucun de nous ne voulait se détacher de l’autre. Soudain de grands coups de doigts raisonnèrent sur la porte. Maman Rouyatou avait entendu le bruit que j’avais fait en passant par la fenêtre. Mon cœur s’emballa et la peur s’empara de moi.

Maman Rouya : ÇA VA MA CHÉRIE ?(en criant derrière la porte)

Rouyatou : OUI ÇA VA MAMAN (en élevant la voix pour que sa mère l’entende)

Maman Rouya : Ouvre moi s’il te plaît, j’ai entendu un bruit j’espère que tu ne t’es pas faite mal.

Là c’était gâté, c’était la panique, je ne savais plus où donner de la tête. «Va te cacher dans la salle de bain» me murmura Rouyatou, ce que je fis en pressant le pas. J’ai préféré me cacher dans le WC car je trouvais faible la probabilité qu’elle y vienne. Je me heurta à une agréable odeur. Un gros morceau d’excrément gisait au fond du WC, je respirais malgré moi cette odeur en écoutant Rouyatou et sa mère discuter. Je ne pouvais déclencher l’évacuation du gros morceau d’excrément sans attirer l’attention alors je patientais puis je tirais sur la corde aussitôt que sa mère mit pieds hors de la chambre.

Moi : Très bonne odeur dans ton WC(en sortant du WC avec soulagement)

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Rouyatou : Je ne comprends pas(le regard perplexe)

Moi : J’ai fait la rencontre avec un énorme morceau de merde dans ton WC. Ne me dis pas que ce gros truc viens de toi

Rouyatou : J’ai sûrement oublié de faire évacuer le truc dont tu parles (en éclatant de rire)

Je me dirige vers la porte puis je la ferme à clé et m’avance vers Rouyatou en marchant lentement. Ayant compris mon intention elle s’avança à son tour vers moi. Novelas n’aurait pas fait mieux que nous. Je passe mes bras autour de sa taille puis je prendre ses lèvres entre les miennes et commençais à l’embrasser tendrement. Je me laissais emporté par son parfum et cette agréable sensation qui se transforma petit à petit en désir. Je fis descendre sa main sur son postérieur puis je lui presse légèrement les fesses, elle se colla de plus bel contre moi. L’envie de passer ma main dans ses cheveux s’empara de moi mais j’abandonnai, son voile faisait obstacle. Rouyatou me poussa légèrement, mettant fin à notre langoureux baiser.

Rouyatou : Il est bientôt vingt heures, je dois aller prendre une douche.

Elle recula et commença à se déshabiller tout en me fixant. Elle laissa tomber son voile, puis enleva sa longue tunique noire par dessus sa tête. Je commençais à être rempli de désir à la vue de ce magnifique corps, je la regardais hypnotisé sans pouvoir placer un mot. Je bavais et mon sexe aussi ne tenait plus en place. Elle n’avait que son bustier et un string comme vêtements sous sa tunique, ce qu’elle enleva avec souplesse en me laissant voir son magnifique corps en chaire avant de se diriger vers la douche. Sa démarche de déesse faisait bouger son postérieur et balancer sa poitrine plantureuse à chaque pas. Tellement je la désirait que mon sexe commença à me faire mal dans mon pantalon. «Tu me rejoins ? » avait-elle lancé depuis la douche sans élever la voix. J’enlevai aussitôt mes vêtements à la hâte, comme si j’avais attendu ce moment. Je laisse à mon tour mes vêtements au sol puis je me dirige vers elle sous la douche le sexe en érection. Ma peur avait laissé place à de l’excitation.

Rouyatou me faisait dos et avait sa tête levée vers le ciel pour recevoir le jet d’eau sur son visage. Je me fis discret puis je me baisse pour saisir le gel de douche dans l’intention de lui en enduire tout le corps. Ma présence fut trahie quand mon sexe toucha la fente entre ses fesses, elle ne se retourna pas pour autant. «Fais nous plaisir !» avait-elle lâché en souriant. Je pris le tube, je verse de fines lignes de gel sur son corps mouillé puis je pris une bonne quantité dans les mains que je fis passer délicatement sur son corps en commençant par ses épaules. Je frotte délicatement mes mains contre sa peau en omettant aucun détail de son corps. Je fis descendre mes mains sur son ventre après les avoir passer sur sa poitrine puis je m’abaisse pour frotter le gel sur ses jambes. Je remonte lentement en passant le gel sur ses fesses que je presse légèrement au passage avant de lui frotter le gel sur le dos. Je descends à nouveau après avoir passé mes mains sur sa poitrine puis en remontant j’éffleure son clitoris avec mes doigts. Cella ressemblait plus à un massage tantrique qu’à une douche, je laissais un minimum d’espace entre nos corps. Je me colle pour de bon à elle en plaçant mon sexe entre la fente de ses fesses puis je passe mes bras sur son corps. Le gel me facilitait les choses. Je saisis ses seins puis les masse lentement et tendrement en titillant ses tétons. Elle lâcha de légers gémissements sous l’effet du plaisir. Je lui pose des fins baisers dans le cou puis je continuais à masser ses seins jusqu’à faire descendre une main sur sa minette. Je la masse délicatement en éffleurant le bout de son clitoris avec mes doigts. Son désir s’emplifia et elle se tordait de plaisir.

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Elle m’arrête dans mes geste puis passe derrière moi et me pousse sous le jet d’eau. Je me rendis compte que j’allais à mon tour prendre une douche de caresses. Elle puise une bonne quantité de gel dans ses mains puis l’étale sur mon dos et ma poitrine. Je sentais ses ongles caresser ma peau. Rouyatou se colla contre mon dos, passa ses mains sur mon torse en s’attardant sur mes tétons qu’elle presse avec sensualité du bout de ses doigts. Je frémis en soupirant profondément, c’était agréable et excitant. Elle continua de me caresser les tétons pendant un bon moment puis fit descendre lentement ses mains à l’encontre de mon sexe. Je sentais ses tétons pointus se frotter contre mon dos, ses mains me produisaient un plaisir inédit et ce plaisir allait augmenter maintenant que sa main s’arrêta sur mon sexe. Elle me caresse lentement le pubis avant de se saisir de ma verge des deux mains, je n’avais pas un énorme sexe mais j’étais un peu au dessus de la moyenne. Elle frotta lentement ses mains sur ma verge, s’arrête pour puiser un peu de gel avant de recommencer. Elle me massait le sexe depuis le champignon jusqu’à la base où elle passa ses ongles sur mes bourses pour les caresser. Mon excitation et mon désir étaient au plus haut point. Ma respiration s’accéléra et J’ouvre légèrement la bouche pour prendre une profonde inspiration. Rouyatou continuait de me branler en augmentant la vitesse de ses mains sur ma verge.

N’en pouvant plus du supplice, je l’arrête dans son action puis je me tourne vers elle, je la rapproche contre moi jusqu’à sentir ses seins sur mon corps. Je prends sa tête entre mes deux mains puis je l’embrasse avec fougue et énergie. Ses mains étant libres, elle saisit à nouveau mon sexe puis recommença à le masser. Elle se détache de moi, couvre mon torse de baiser avant de prendre mes tétons dans sa bouche. D’un premier coup de langue elle les lèche tour à tour puis commence à les sucer en les aspirant en modérant la pression de ses lèvres. Je respire profondément puis je lâche un «Oh Ouii» pour lui faire savoir que je n’aimais pas mais j’adorais ce qu’elle me faisait. Pendant que ses lèvres s’affairent sur un de mes tétons, une main caressait l’autre. Elle le faisait ainsi pendant quelques minutes avant de commencer à s’abaisser tout en continuant de me couvrir de baisers. Elle s’agenouille entre mes jambes puis embrasse mon pubis. Je n’avais qu’une envie, la pénétrer ou la lui fourrer dans la bouche. Rouyatou déposa un léger baiser sur le gland de ma verge puis répétait le geste en élargissant un peu plus sa bouche Jusqu’à avaler le champignon. Elle fit pression de ses lèvres et aspirait ardemment en reculant la tête, ce qui fit un bruit comparable à l’ouverture d’un vin ou d’un champagne. Elle plaça une main sur le début de ma verge puis l’accompagne de ses lèvres. Mon sexe entra dans sa bouche et elle continuait de l’aspirer lentement jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de place dans sa bouche. Je sentais la chaleur de sa langue sur mon sexe. La voir me procurer une fellation m’excitait de plus bel. Elle commence à me sucer puis augmenter la rapidité de ses mouvements. De sa main gauche elle jouait avec mes bourses et de l’autre me branlait au même moment qu’elle me suçait. Je pose mes mains sur sa tête puis je la dirige en va et vient sur ma verge en un rythme régulier, elle plaça ses mains contre mes jambes et se laisse guider. Un geste de trop pouvait la faire vomir, j’en étais conscient. Je commence à grogner quand je sens mon plaisir décupler. Elle repris ma verge entre ses mains puis me la suçait à nouveau. Elle soulève ses seins et me les présente pour que je me décharge dessus, ce que je fis sans retenue et avec des grognements.

Elle se relève, s’approche de moi sous l’eau puis nettoie le foutre sur sa poitrine et commence à m’embrasser. On entend soudain des coups contre la porte. Mon cœur fit un bond dans ma poitrine, je commençais à m’inquiéter de mon sort. Rouyatou posa une main sur mon torse pour me calmer puis elle se dirigea hors de la douche avec une serviette nouée à la poitrine. Au bout de quelques minutes elle revint sous l’eau et m’explique que c’était sa petite sœur qui était venue lui apporter son dîner.

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Sans me prévenir, elle sauta à mon cou et souleva ses jambes le plus haut qu’elle pouvait. Je passe mes bras entre nos corps puis je les saisis. Elle passa ensuite une main sous ses fesses, saisit ma verge et la plaça à l’entrée de sa chatte. Je la fis descendre lentement sur mon sexe jusqu’à ce qu’il soit profondément en elle elle soupira profondément et se mordille les lèvres inférieures. Je pouvais sentir la chaleur et l’humidité de sa minette qui avalait goulûment mon sexe. Je la repousse légèrement puis la plaque brutalement contre moi. Elle lâcha un petit cri aigu. Je commence à la tamponner énergiquement sous l’eau. Elle gémissait à chaque coup que je lui donnais. Toujours accrochée à moi, je m’avance à pas rassurés vers la sortie puis me dirige vers le lit après avoir fermé le robinet. Au bout d’une dizaine de minutes je sens la fatigue me gagner puis je la pose sur le rebord du lit. Elle était essoufflée et se tordait de plaisir et elle gémissait. Rouyatou fit passer ses jambes sur mes épaules et je continuais de lui assener de puissants coups de reins. Sa chatte se contracta contre ma verge et elle froissa le drap de toutes ses forces. Son bassin de contracta à son tour et elle gicla abondamment sur le lit en se tortillant. Elle respire difficilement et essaie de reprendre son souffle. Je monte ensuite sur le lit et me couche sur le dos, sexe tendu vers le haut, en attendant que Rouyatou vienne me chevaucher. Elle ne se fit pas prier. Elle vint se placer au-dessus de ma verge puis entama une lente descente en gémissant. Elle s’assit sur ma verge dans toute sa longueur puis commence à monter et à descendre. Elle me chevauchait violemment tout en se mordillant les lèvres inférieures. J’alternais avec quelques coups de reins pour me faire plus profond en elle et elle gémissait en profondément. Elle me chevaucha un bon moment puis un violent orgasme s’empare de moi. Instinctivement Je presse ses fesses puis je me déverse abondamment en elle. Quelques secondes plus tard c’était à son tour de rejoindre le l’extase. Elle s’écroula, de fatigue, sur moi puis se laisse glisser sur le côté après m’avoir embrassé. Sa tête sur ma poitrine, on s’endormirent tous deux instantanément après.

De violents coups contre la porte nous firent sortir brusquement de notre sommeil. Je jette un œil à la porte et il était plus de huit heures. «ROUYATOU J’AI FAIT VENIR LE MENUISIER POUR QU’IL RAFISTOLE LA POIGNÉE DE LA PORTE DE TA DOUCHE, TU FAIS QUOI DEPUIS ? OUVRE MOI LA PORTE» C’était la panique, je sursaute du lit et commence à m’habiller aussi vite que je le peux. Rouyatou ramassa son voile et sa tunique qui traînaient encore au sol et s’habilla elle aussi. Sans jeter un œil sur la cour arrière je passe par la fenêtre. Aladji fit éruption dans la chambre et par excès de panique je lâche la fente à laquelle je m’étais accroché puis je m’écroule violemment sur le sol sans gémir malgré le choc. Dans le feu de l’action je n’eu aucune douleur puis je me dirige vers le portail. La chance était de mon côté, Mike le nouveau vigile était déjà là. Il éclata de rire en voyant ma tête. Perdu dans mes pensées, je priais pour que Aladji ne découvre pas le sachet contenant les biscuits et sucreries que j’avais apporté la veille mais qu’on n’a pas pu manger.


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