Instant érotique : Romantisme érotique (interdit aux -18ans)


Instant érotique

Je n’oublierai jamais ce jour où Reine m’a dit oui, «oui, je veux bien sortir avec toi», un oui qui a changé ma vie.

Je me rappelle encore quand on était à l’université en fin de licence. Reine était l’une des rares filles qu’on ne pouvait pas avoir facilement. Après douze longs mois de drague, sorties et autres, je n’en pouvais plus du supplice. «Je veux une réponse demain ou alors dis le pour que je sorte à jamais de ta vie» voilà mot pour mot la phrase qui était sortie de ma bouche la veille. Le lendemain, Reine m’avait esquivé toute la journée jusqu’à la fin des cours, par aubaine nous sortions ensemble de notre salle. Je l’avais approché après avoir remis en ordre mon habit. «Reine» avais-je lancé avant qu’elle n’entame sa descente de quatre étages.

 

Reine : Oui, Roi. Comment tu vas ? (En se retournant vers moi avec un sourire qui m’avait laissé perplexe)

 

Moi : Bien merci et toi ? (en souriant pour paraître plus charmant)

 

Reine : Je vais bien aussi merci. On descend ? (en feignant de ne pas savoir le pourquoi je l’avais appelé)

 

Moi : Oui, mais avant je veux ma réponse (le cœur battant de peur)

 

Reine : C’est à dire que euhhh…(grattant la corde de son sac à dos tout en regardant le sol)

 

Le gardien : DESCENDEZ, JE VAIS FERMER LA GRILLE. ( hurla t-il comme un fou en montant les escaliers)

 

Reine : Oui.

 

Moi : Pardon ? (Les yeux écarquillés en me demandant si c’était ma réponse ou toute autre chose)

 

Reine : On doit descendre, le gardien nous attend. (En se retournant pour descendre)

 

Moi : Et ma réponse ? (En la retenant par le bras)

 

Reine : Tu l’auras ce soir lorsqu’on s’écrira (en souriant légèrement du coin des lèvres)

 

Ce sourire que j’avais perçu sur ses lèvres m’avaient redonné un grain d’espoir. Au soir venu, je lui avais envoyé un long message tout en lui promettant lune et soleil… Je reçu à mon tour, une trentaine de minutes plus tard, un long message que j’avais lu avec empressement. Ma réaction était un grand saut dans les airs, j’avais sautillé comme un enfant à qui on venait d’offrir le plus beau cadeau du monde. Même les vainqueurs de la coupe du monde n’avaient pas ressenti cette immense joie inimaginable qui m’avait envahi à cet instant. Ainsi avait débuté ma plus belle relation amoureuse.

 

Déjà cinq ans que Reine et moi étions en couple. On avait commencé à faire le programme de cette journée, le cinquième anniversaire de notre couple, depuis plus de six mois. Malheureusement la date du cinquième anniversaire de notre couple coïncida avec un une mise en place nationale d’un couvre-feu par l’État, à la suite d’une crise sanitaire mondiale liée au Covid19.

Reine était totalement déçue, elle avait fondé de grands espoirs sur cette journée qu’elle nous voulait inoubliable.

La date pointa son nez avec le Corona, les mesures barrières et tout ce qui allait avec. Notre seule activité à été des échanges de «Je t’aime» et le point de notre relation.

Un mois plus tard, les restrictions avaient été allégées et les déplacements rendus possible. Nous avons choisi une date pour rattraper celle qu’on avait perdue. J’avais invité Reine dans l’un de nos restaurants préférés. Comme de jeunes mariés, nous avions payé le même pagne et remis à nos couturiers respectifs.

Dix huit heures sonna. Vêtu d’un complet manche longue et pantalon, faits de pagne africain, d’une paire de cuir neuve et d’une montre Rolex couleur or, je sortis ma moto et démarrai sans perdre de temps. J’étais excité à l’idée de savoir ce que Reine avait fait du pagne. Elle sera sûrement ravissante, pensais je en roulant. J’arrive à son domicile, j’appuie sur la sonnette d’alarme et cinq minutes plus tard le portail s’ouvrit. Il s’ouvrit sur la plus belle et ravissante déesse qui soit. Aucun accessoire supplémentaire, pas de collier ni de bague ni de bracelets, que de simples petites boucles d’oreilles accrochées à ses oreilles et un petit sac à main dont la couleur épousait à perfection notre pagne. J’étais ébahis, plus aucun mot ne sortait de ma bouche. J’eus l’impression d’être en face du soleil dont la chaleur me faisait fondre d’amour. Reine sourit légèrement sans exposer ses dents. Elle était éblouissante. Je revint à moi et me rendis compte qu’elle n’attendait que moi pour descendre les marches. Je m’empresse de la rejoindre et je tire révérence en me courbant légèrement, la main plaquée sur la poitrine.

 

Moi : Gente dame (en m’abaissant)

 

Reine : Noble Roi (en écartant le tissu de part et d’autre de sa robe et en s’abaissant légèrement un pied en arrière, le petit sac dans le creux des aisselles)

 

Moi : Vous êtes radieuse, la déesse Isis volerai votre cœur si elle était de ce monde (en lui tendant la main)

 

Reine : Votre élégance n’a d’égale en ce monde. Zeus lui-même serait jaloux de votre prestance (en déposant sa main dans la mienne)

 

Moi : Suis-je à votre aisance ? Votre beauté fatale est d’un rayonnement qui me laisse engourdi. (En levant son bras à hauteur de son épaule)

 

Reine : De grâce Noble Roi, vous êtes tout à fait à mon aisance. Mais dites moi, suis-je à votre convenance ? (En descendant une à une les marches)

 

Moi : Vaine question qu’est celle là gente dame, mon cœur, mon âme, mon esprit n’ont d’yeux que pour votre personne. (En lui posant un langoureux baiser sur la main)

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Reine : Ah, Que Dieu lui-même me coupe le souffle si je vous laisse entendre que vos sentiments ne sont pas réciproques. (En clignant d’un œil)

 

Moi : Mon cœur n’est plus froid, ni en émoi. Il est chaud, car il a ce qu’il lui faut. Il est dans l’allégresse car il a sa tigresse. Ma gente dame, m’accorderez vous ce privilège d’accepter ma compagnie tout au long de cette brune ? (En tirant à nouveau révérence, sa main posée sur la mienne)

 

Reine : Jamais je ne me passerai de vos caprices (en levant la tête pour se donner de l’importance)

 

Lizi : Ooohh c’est bon. Nous ne sommes pas à l’époque de Molière ici. Allez-y (en frappant frénétiquement ses mains l’une contre l’autre à l’entrée)

 

Lizi, la petite sœur de reine ferma le portail derrière elle en nous congédiant. Reine et moi éclatons systématiquement de rire. On avait adoré notre petit simulacre. Je démarre la moto et j’attends que Reine monte derrière moi avant de prendre la route.

Nous arrivâmes au restaurant. Je passe devant puis je pousse la porte en verre pour laisser passer Reine avant d’entrer à mon tour, notre table, réservée depuis une semaine, se trouvait au fond de la salle, isolée des autres. De sa démarche majestueuse, Reine marchait devant moi et s’arrêta à côté de la table, attendant que je lui tire la chaise. Ce que je fis. Elle s’assit et se soulève un peu pour que j’ajuste son siège. Je m’assieds à mon tour et on commande à boire au serveur qui est venu à notre encontre, un petit carnet et un stylo à la main.

 

Reine : Notre traditionnelle point. (En me regardant dans les yeux)

 

Moi : Oui, très capital (en plaçant mes mains l’une sur l’autre sous mon menton)

 

Reine : Roi, je n’ai pas grand chose à dire si ce n’est déjà dit. (En posant ses mains sur la table, paumes ouvertes). Cette année a été comme les autres, pleine de folies et de joie. (En refermant ses mains sur les miennes) J’ai découvert d’autres facettes de toi et même d’autres talents cachés. Tu as su me combler de bonheur, tu m’as montré que l’amour ne se limite pas aux mots mais aux actions. Tu as fait pour moi ce qu’aucun auparavant n’avait fait. Tu as été à la fois mon ami, mon frère, mon conseiller, mon confident et mon homme. Ta compréhension est une des meilleures choses que j’aime chez toi. Bref tu m’as rendu et tu me rends heureuse chaque seconde. (En plongeant ses yeux dans les miens)

 

Moi : Humm (les larmes aux yeux)

 

Reine : Oui Roi, en me souvenant de certaines de tes tendres actions, de tout ce qu’on a traversé, il m’arrive de pleurer sans savoir. Je t’aime Roi, de tout mon cœur (En me caressant le dessus de la main, ses yeux toujours fixés dans les miens)

 

Je retire ma main et je le frotte les yeux pour empêcher mes larmes de couler. L’émotion était à son sommet, ses paroles m’avaient pénétré au plus profond de mon cœur. Je prends un papier mouchoir et je fais semblant d’enlever un débris qui m’est rentré dans l’œil.

 

Reine : Ça va ?

 

Moi : Oui, juste que je suis très ému (en repliant le papier mouchoir)

 

Le serveur apporta les boissons et les dépose sur la table entre nous. Je pousse mon couteau de table et ma fourchette de côté pour lui permettre de déposer les verres. Nous le regardons agir, silencieux, en attendant qu’il parte avant de continuer.

 

Serveur : Autre chose ? (En nous regardant tour à tour)

 

Moi : Non c’est bon merci. (En oscillant la tête de gauche à droite)

 

Serveur : D’accord, votre commande est bientôt prête, patientez un peu s’il vous plaît.

 

Moi : Ok. (En lui faisant oui de la tête que j’ai compris)

 

Il s’éloigna le plateau et le décapsuleur en main

 

Moi : Toi et moi c’est pour la vie. Pose ta main sur ma poitrine pour le sentir.(en plaçant une main sur ma poitrine) Je suis tombé en esclavage, de ton sourire de ton visage.

 

Reine : Encore tes jeux de mots (en souriant légèrement du coin des lèvres)

 

Moi : Il est vrai que dans un couple il y a des hauts et des bas, mais tout au long de notre relation il n’y a pas eu de bas, que de moments forts et même si nous avons traversé des péripéties, nous avons tenu bon. (en plaçant mes bras de part et d’autre des boissons pour prendre ses mains dans les miennes) Je n’oublierai jamais ces trois mois durant lesquels je suis resté à la maison à la suite de mon licenciement abusif. Tu allais au marché et tu me préparais à manger tous les deux jours et sans rien me demander comme argent. Quand je refusais de manger tu enlevais tes vêtements pour me montrer à côté de quoi je passerai si je m’obstinais. Et ça m’a toujours motivé. (en riant tous les deux sur ma dernière phrase) Tu es une femme exceptionnelle Reine, je l’ai toujours su (en lui caressant le dessus de la main)

 

Des larmes commençaient à courir sur ses joues en chaire. J’approche ma main droite de son visage en lui souriant sans laisser voir mes dents et je nettoie la ligne verticale tracée par une goutte.

 

La soirée se termina deux heures plus tard par des discussions concernant tout et rien. On riait, on s’insultait, on se donnait même de petites tapes comme des enfants.

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Je règle l’addition en claquant plusieurs billets et je laisse un petit pourboire. En sortant du restaurant, nous tombâmes nez à nez avec Jarvis, l’ex petit-ami de Reine, accompagné d’une jeune femme sublime. À quelques pas derrière Reine, j’arrive à percevoir en elle une réaction de confusion. Nous sortons du restaurant en remerciant le vigile et je m’assieds sur la moto, qui était soutenue par une seule béquille, bras croisés sur le torse tout en la fixant droit dans les yeux.

 

Reine : Quoi ?

 

Moi : À quoi tu penses ? (d’un air calme)

 

Reine : Rien pourquoi ? (Avec un regard qui disait qu’elle ne comprenait pas ma question)

 

Moi : Dès que nous sommes sortis du restaurant tu t’es immédiatement retournée pour les regarder (en pointant du menton en direction du couple toujours debout à côté du mur en vitre)

 

Reine : Ce n’est rien, j’admirais seulement la beauté de la fille. (En frappant le vide au dessus de son épaule avec sa main pour me signifier d’oublier)

 

Moi : Tu as une réaction qu’on appelle….

 

Reine : S’il te plaît, ne me psychanalyse pas. Même si tu n’as pas fait ces études, tu es doué pour ça (en coupant cours à ma phrase)

 

Moi : Désolé, c’était plus fort que moi. Je te dépose si tu veux (en faisant entrer ma tête dans le casque)

 

Reine : QUOI ? Tu as oublié le cadeau que tu m’avais promis ? (En me regardant à travers d’un air furax)

 

Moi : Je blaguais, monte.  (en démarrant la moto après avoir remis la béquille à sa place)

 

Reine avait posé sa tête sur mon dos et avait joint ses bras autour de ma taille tout le long du trajet.  Nous arrivâmes au  pied d’un immeuble et après avoir mis ma moto dans le garage commun, nous sommes montés au premier étage où se trouve mon appartement. Je lui demande de fermer les yeux et de me faire confiance.

À l’ouverture de la porte, nous fûmes envahi par un parfum agréable. Je la dirige par la main vers le milieu de l’appartement et je lui prends son sac à main que je m’en vais déposer dans ma chambre et reviens. J’éteins toutes les lumières et je me presse d’allumer les bougies parfumées que j’avais placé en épars dans l’appartement. Je fais brûler un peu d’encens et l’odeur se propage vite dans l’appartement. «Tu fais quoi ?» en humant profondément l’odeur de l’encens. «La chaleur est agréable, je peux ouvrir maintenant les yeux ? », question à laquelle je demeure silencieux.  J’enlève précipitamment mon complet pagne et je me retrouve nu devant elle, une serviette blanche accroché à l’avant bras.

«Tu peux ouvrir maintenant». Reine resta ébahi par le spectacle qu’offre cette multitude de bougies parfumées dans cette obscurité. Elle tourna sur elle même et vis qu’il y en avait dans tout l’appartement.

 

Reine : C’est absolument magnifique (en se retournant vers moi, les main couvrant le nez et la bouche)

 

Reine se rendit compte de ma nudité devant elle et éclata de rire.

 

Reine : À quoi tu joues Roi, avec cette serviette accrochée à l’avant bras ? (En étouffant son rire avec ses mains sur la bouche)

 

Moi : Ton cadeau est un massage corps à corps ou tantrique. (En affichant toutes mes dents)

 

Reine : Depuis quand tu es devenu masseur toi ? (En enlevant ses mains du visage)

 

Moi : Suis moi et tu verras (en prenant direction de la chambre)

 

Elle me suivit et pénétra dans ma chambre où j’avais installé une table de massage, couverte de plusieurs serviettes blanches, au pied du lit. La douce chaleur qui régnait dans l’appartement était agréable mélangée à une odeur parfumée. J’ouvris la fermeture de sa robe et elle la fit descendre sur le carrelage. Elle se débarrassa de son soutif et de sa culotte. Je la regardais avec attention et mon sexe commença à se durcir. Elle se coucha sur la table de massage, les bras positionnés tout le long de son corps.

J’accroche la serviette à un pan du lit et je prends un bol en aluminium rempli d’huile de massage. Je chauffe légèrement l’huile en plaçant le bol au dessus d’une bougie située à portée de main, je trempe trois de mes doigts dans l’huile, et je place ma main à quelques centimètres au dessus de sa colonne vertébrale.

Les gouttes d’huile tombent dans le creux de son échine et je déplace ma main le long de son dos pour laisser tomber les gouttes. Elle inspira profondément, «c’est très agréable».

Je trempe à nouveau mes doigts dans l’huile et je me frotte les deux mains pour qu’elles soient suffisamment lubrifiées. Je m’approche d’elle et je place mes mains de part et d’autre de ses côtes. J’exerce une légère pression et je fais remonter mes mains. Je fais glisser mes mains sur son dos jusqu’au commencement de son postérieur et je remonte en y mettant un peu plus de pression.

 

Reine : Je risque de m’endormir si tu continues ainsi.

 

Moi : Shuuut, tais-toi et ferme les yeux. (En m’activant sur son corps)

 

J’avais décidé de lui procurer un vrai massage avant de passer au corps à corps. Je prends encore un peu d’huile dans la main et je laisse tomber les gouttes sur ses bras, ses fesses et ses cuisses. Mon sexe la touche chaque fois que je passe mes mains sur l’autre côté de son corps. Je passe mes mains sur ses bras et je la masse en y mettant un peu de pression. Je descends sur ses fesses rebondis et je les masse sans m’y attarder. Elle lâcha un petit gémissement. Mes mains glissaient parfaitement sur son corps charnu.

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Elle se retourna à mon signale, les yeux toujours fermé. J’avais sous mes yeux sa poitrine plantureuse. Une envie folle me prit de les lui lécher, mais je retiens. Je fais enduire sa poitrine d’huile, je prends ses seins dans chacune de mes mains et je masse les contours en lui titillant les tétons. Elle gémit en se mordillant les lèvres. Je délaisse le haut de son corps et je commence à lui masser les cuisses et les jambes, en évitant son pubis. Elle devenait de plus en plus excitée.

Elle se recouche à nouveau sur le ventre, pour que je commence enfin mon massage corps à corps.

Je monte à mon tour sur la table de massage, j’enduis le devant de mon corps d’huile et je me couche sur elle. Je me glisse lentement sur son corps, tout en faisant pression sur certaines parties. Je colle mon torse à son dos et je glisse en faisant des montées et des descentes. Reine avait les yeux fermés et gémissait de temps en temps.

Ne pouvant plus contenir mon excitation, J’avais envie de la pénétrer. Je masse mon sexe tendu avec l’huile de massage et je le place entre le creux de ses fesses. Reine compris mon intention et souleva légèrement son postérieur pour me permettre de voir l’entrée de sa grotte. Elle fit passer ses bras sous sa tête et tourna le regard en ma direction. Je place ma verge à l’entrée de sa chatte, je la frotte contre le bout de son clitoris et je commence à la pénétrer lentement. Elle gémit profondément et en se mordillant les lèvres. L’huile à rendu ma pénétration facile. Mon sexe glissa en elle centimètre après centimètres. Je sentais la chaleur de sa chatte envelopper ma verge. J’eus droit à un plaisir indescriptible. Je me fis profond en elle, et je couvre son cou de baiser malgré l’huile. Nos corps restèrent collés un bon moment, avant que je n’entame de lents vas et viens en elle.

S’il m’est possible d’arrêter le temps pour que ce moment soit éternel, je le ferai.

Je commence à faire des mouvements de vas et viens en elle. Je continue de lui couvrir le cou de baisers tout en lui donnant des coups de reins. J’augmente la vitesse et la puissance de mes coups. Tantôt ils étaient tendres, tantôt violents. Elle continuait de gémir, la main sur la bouche,

en empêchant ses cris de remplir l’appartement. J’agrippe le rebord de la table de massage et mes coups devinrent plus puissants. La table de massage subissait elle aussi mes coups en grinçant sur le carrelage. Je commençais à suer à cause de mes efforts. Je continue de la baiser violemment une bonne dizaine de minutes dans cette demi obscurité jusqu’à ce que j’atteigne le point de non retour. Mon corps tout entier se mit à trembler, je contracte mes fesses et je libère mon foutre tout en grognant comme un animal.

Je lui donne un baiser dans le dos, je me lève de la table de massage, Reine se redresse à son tour, s’assied et écarte les jambes en me fixant.  Je masse à nouveau mon sexe toujours dure et je la pénètre d’un coup sec. Elle lâche un gémissement profond en enfonçant ses ongles dans mon dos. Je me mis à la baiser à nouveau. Je la tamponnais, et elle hurlait de plaisir. On commençait tous deux à transpirer comme des bêtes. Elle s’accroche à moi, et mon sexe toujours en elle, je la soulève de la table et nous dirige à pas lents et rassurés vers le lit.

Je réussis à me coucher sur le dos, une partie des jambes hors du lit. Elle se coucha sur moi et m’embrassa langoureusement. Je sentais le ses tétons turgescents glisser contre ma poitrine, ce qui m’excita encore plus. Elle se mit à montrer et à descendre le long de mon sexe. Reine me chevaucha violemment. Le choc entre ses fesses et mon bassin donnait naissance à des claquements qui emplissaient la chambre. Je passe mes mains entre nos corps et je saisis ses seins qui balançaient au rythme de ses mouvements. Je lui masse délicatement les seins, en lui pressant les tétons pendant qu’elle me chevauche.

Elle gémit de plaisir. «Je viens, je viens, je viens» lâcha t’elle. Je vis son visage se déformer de plaisir et sa bouche s’ouvrir grandement. Elle leva les yeux vers le plafond et gémit profondément en me mordillant les lèvres. Elle se laissa s’écrouler sur moi et prit mes lèvres entre les siennes. Elle se laissa glisser sur le côté et elle posa sa tête sur mon torse. On respirait bruyamment en essayant de reprendre nos souffles

 

Moi : Je pense qu’on devrait officialiser notre relation (en lui caressant les cheveux)

 

Reine : L’officialiser plus que maintenant ?

 

Moi : Se présenter à nos parents, je veux entamer les démarches pour la dot

 

Reine : Tu es sérieux ? (En levant son regard vers moi)

 

Moi : Très (en la fixant à mon tour)

 

Reine : Je croyais qu’on ne le ferait jamais (me caressant le nombril tout en souriant) Mais pardon va éteindre les bougies et allumer le ventilateur. Je ne veux pas cuire comme une porc au four (en levant sa tête sur ma poitrine)


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